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Faire du bénévolat à Equitas pour un changement social

MICHAEL COOPER – Montréal, Canada

 

Cette histoire fait partie de la série Nous sommes le changement en droits humains pour célébrer le 50e anniversaire d’Equitas (#Equitas50). Tout au long de l’année 2017, découvrez les histoires de 50 défenseur-e-s des droits humains. Ce ne sont là que quelques leaders parmi des centaines qui, avec l’appui d’Equitas, changent des vies à travers le monde par l’éducation aux droits humains.

La générosité, le talent et la passion sont connus pour être au cœur d’un vrai bénévole. Michael Cooper en est la preuve. Il est toujours heureux de pouvoir aider et quiconque lui parle peut ressentir son humilité.

Son père et sa mère étaient très impliqués auprès d’organisations communautaires. Il sourit à l’idée que leur travail en tant que bénévoles l’aurait peut-être influencé dans son implication aujourd’hui. Michael a travaillé dans l’entreprise familiale pendant près de 30 ans et a aidé pendant plusieurs années sa conjointe à sa clinique de physiothérapie où, par hasard, il a rencontré une personne qui a changé sa vie.

L’une des patientes de sa femme était une dame âgée dont la nièce l’amenait à la clinique chaque semaine. Pendant que sa tante recevait un traitement, Michael a eu de longues discussions avec la nièce et a peu à peu raconté son histoire. Un jour, elle lui a demandé s’il voulait retourner à l’université et lui a proposé de l’aider dans ses démarches. Une semaine plus tard, elle lui annonce qu’elle l’a inscrit à l’Université Concordia. Il était en période de probation, mais c’était un début.

Michael a travaillé très dur, mais il a éprouvé quelques difficultés à réussir les examens de session et il était découragé. Imperturbable, il a décidé de se tourner vers son département pour demander de l’aide et des conseils. On l’a encouragé à consulter une psychologue qui a administré près de vingt heures de test sur une période de deux semaines. Elle lui a révélé que ses difficultés d’apprentissage, qui l’affectaient depuis son enfance, étaient dues à un trouble du déficit de l’attention (TDA). Il a alors reçu de l’aide afin de mieux gérer son TDA. Au cours de sa deuxième année d’études, il a amélioré ses notes à tel point qu’il a reçu une bourse pour la moyenne la plus élevée parmi son groupe d’âge. C’était un énorme coup de pouce pour Michael. Il a ensuite pu profiter pleinement de ses études en création littéraire et littérature anglaise.

Au fil des ans, Michael a agi comme bénévole pour Equitas de diverses manières, notamment en imprimant des manuels et des affiches. Il s’implique également depuis huit ans au Programme international de formation aux droits humains (PIFDH) d’Equitas, à Montréal, au Canada. Michael a un amour particulier pour la photographie et a joué le rôle de photographe pour de nombreux événements organisés par Equitas. Il souhaiterait d’ailleurs faire un projet de photojournalisme à l’avenir. Mais comment a-t-il connu Equitas?

Il est toujours intéressant de découvrir le chemin qui a amené une personne à s’impliquer auprès d’une organisation. En 1977, Michael décide de suivre un cours pour apprendre le japonais — sa conjointe est d’origine japonaise — où il rencontre une dame britannique, Ruth Selwyn, qui travaille pour l’ambassade du Japon. Ils sont devenus amis et le sont encore aujourd’hui depuis presque quarante ans. Ruth devient finalement la directrice générale d’Equitas. Chaque année, Equitas organise le PIFDH, auquel participent des dizaines d’éducateurs aux droits humains venus de partout dans le monde et une des activités consiste à dîner avec une famille canadienne. Ruth a demandé à la famille Cooper de participer et cela marqua le début de l’implication de Michael auprès d’Equitas.

Michael a commencé à faire du bénévolat pour Equitas en 2009. « Lorsque l’organisation adopte des valeurs similaires aux nôtres, la relation est tellement plus facile à maintenir. », affirme-t-il. Il les aime – parce c’est réciproque. Michael a toujours un grand sourire lorsqu’il se présente aux nombreux événements organisés par Equitas. Il travaille aussi pour d’autres organisations non gouvernementales. Il affirme que le bien qu’il apporte aux autres contribue aussi à son propre bien-être. Equitas est son premier amour et il croit très fortement en leur mission.

Il ajoute : « Ils ne jettent pas l’argent par les fenêtres pour soi-disant régler un problème. Ils forment des gens qui croient aux droits humains … Equitas envoie des personnes dans divers pays – et leur approche est juste. Donnez à un homme un poisson et vous le nourrissez pour un jour. Apprenez à un homme à pêcher et vous le nourrissez pour toute une vie. » Il est d’accord avec cette philosophie et cette façon de faire.

Le dernier message que Michael Cooper, un bénévole extraordinaire, aimerait transmettre au public, est de savoir combien il est important pour ceux qui ont les moyens d’avoir une conscience sociale. Il se considère chanceux d’avoir trouvé une organisation qui le passionne. Faites quelque chose que vous aimez et l’Univers vous mènera où vous devez être.

 


MICHAEL COOPER – Montréal, Canada
Bénévole à Equitas


Histoire rédigée par Judith A. McDowell, Piper LegacyPress. www.piperlegacypress.com
Membre de l’Association of Personal Historians, membre du conseil d’administration et directrice marketing.

 

 

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