Robert Yalden (il/lui), est le premier titulaire de la chaire Stephen Sigurdson en droit des sociétés et en finance à la Faculté de droit de l’Université Queen’s.
Robert est un ancien président du conseil d’administration d’Equitas (2007-13), a été son trésorier et continue de siéger à plusieurs comités de son conseil d’administration, notamment les comités des finances, des communications et du développement, et de l’équité et de l’inclusion.
Avant de se joindre à Queen’s Law en 2018, Robert était associé principal chez Osler, Hoskin & Harcourt LLP et professeur auxiliaire à McGill Law. Après avoir été stagiaire auprès de la juge Bertha Wilson à la Cour suprême du Canada (1989-1990), Robert a été admis au barreau de l’Ontario (1991) et du Québec (1992). Il s’est joint au bureau d’Osler à Toronto en 1993 et a fait partie de l’équipe qui a ouvert le bureau d’Osler à Montréal en 2001. Parfaitement bilingue, il a occupé plusieurs postes de direction au cours de ses 25 ans de carrière chez Osler, notamment en tant que membre du comité exécutif d’Osler, coprésident du groupe national des fusions et acquisitions d’Osler pendant plus d’une décennie et chef du département des affaires corporatives du bureau d’Osler à Montréal.
Pourquoi Equitas ?
Mon engagement envers Equitas est de longue date et vient l’engagement de ma famille envers les valeurs qu’elle incarne. Ma passion pour le travail d’Equitas continue d’être alimentée par l’impact extraordinaire d’Equitas au Canada et à l’étranger. C’est un privilège de travailler avec un conseil d’administration diversifié et une équipe de direction talentueuse pour aider l’organisation à croître et à étendre son impact. Au cours de mes presque deux décennies d’engagement avec Equitas, j’ai vu l’organisation aller de mieux en mieux. J’ai été particulièrement heureux de voir Equitas développer un large éventail de programmes nationaux qui complètent maintenant sa programmation internationale à multiples facettes, et de constater une croissance significative du financement du secteur privé pour le travail d’Equitas, ainsi que le soutien remarquable que nous recevons de tous ces partenaires du secteur public. Le domaine des droits de l’homme est un domaine dans lequel il y a toujours plus de travail à faire. J’ai longtemps été, et je continue d’être, impressionné par l’énorme profondeur de l’expérience en éducation aux droits de la personne qu’Equitas apporte à la table.