Le panel de discussion qui a suivi la présentation du Réseau Résilience était composé de Rachel Pulfer, présidente de Journalists for Human Rights, en tant que modératrice, et de quatre panélistes :
Mostafa Al-Asar, journaliste égyptien et boursier du Massey College, a parlé des défis auxquels sont confrontés les journalistes exilé.e.s, des difficultés qu’ils rencontrent et de l’importance de poursuivre notre travail journalistique en mettant l’accent sur les questions relatives aux droits humains, ainsi que de la manière dont les journalistes exilé.e.s peuvent exercer une influence positive sur la société canadienne.
Sheng Xue, poète, écrivaine et journaliste qui a partagé son histoire en tant que personne exilée et mentionne qu’il est important que le Réseau Résilience soit fort et efficace et devienne une plateforme pour tou.te.s les défenseuses.seurs et activistes des droits humains.
Sadia Zaman, PDG de la Fondation Inspirit, qui a souligné l’importance de fournir aux activistes divers outils et ressources et a insisté sur la nécessité d’avoir différents alliés, y compris des individus ou des groupes avec lesquels nous ne sommes pas toujours en accord ou avec lesquels nous n’avons pas l’habitude de travailler.
Chris Eaton, Directeur des opérations au Musée Aga Khan et président intérimaire de Sociétés Résilientes, nous a rappelé à quel point il est important de défendre des organisations telles que celle-ci. En tant que sympathisant.e.s, nous devons nous efforcer d’établir des liens, de traduire les expériences, d’identifier les ressources et de les mettre à disposition.