10 octobre 2014
Pour une troisième année consécutive, Equitas a participé au Cours d’été international relatif aux droits de l’enfant à Moncton, au Nouveau-Brunswick (Canada). Cette année, l’événement s’est déroulé sous le thème de l’Article 12 de la Convention relative aux droits de l’enfant; le droit de participer et d’être entendu. Plus de 70 personnes provenant de 15 pays étaient présents.
L’atelier d’Equitas a permis aux participants de mieux comprendre la relation entre la participation des enfants et leur protection, d’échanger des idées, de discuter des meilleures pratiques et d’établir des priorités pour l’année à venir.
Le cours a débuté par une formation de trois jours sur les fondements historiques et philosophiques des droits de l’enfant et a été suivi par une conférence thématique sur l’Article 12. Au cours de celle-ci, il a été question de la participation des jeunes des points de vue juridique, de l’éducation, de la programmation et de la protection des enfants.
En discours de clôture, Gerrison Lansdowne a présenté une nouvelle trousse qui permet de mesurer la participation des enfants et elle a mis en lumière les succès et les nombreux défis liés à leur participation depuis l’adoption de la Convention relative aux droits de l’enfant il y a 25 ans.
De la gauche : Matt DeCourcey, du Bureau du défenseur des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick; Angie Mapara Osachoff, d’Equitas; Laura Butler, d’Equitas; et Christian Whalen, du Bureau du défenseur des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick.
Angie Mapara Osachoff et Laura Butler, toutes deux d’Equitas, ont dirigé un atelier qui a permis aux participants de mieux comprendre la relation entre la participation des enfants et leur protection, d’échanger des idées, de discuter des meilleures pratiques et d’établir des priorités pour l’année à venir.
Enfin, Equitas a eu l’honneur de recevoir le prix Trailblazer 2013 des droits de l’enfant, décerné par la Coalition canadienne pour les droits des enfants afin de reconnaître l’approche innovante du programme On ne joue pas avec les droits d’Equitas.